Candy

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La Poya  -  Bovet
Vo Chaluo Maryè  -  Esseiva
Notre Père  -   Ducret
Pie Jesu   -  Bovet
La Chin Deni  -   Corboz
Meli-Melo  -   Bovet

 

La Cantilène

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Christus factus est   -   Anerio  (1560-1614)

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Le Christ s’est fait obéissant,
jusqu’à la mort, et à la mort sur la croix.
Aussi Dieu l’a t-il exalté,
et lui a donné le nom
qui est au-dessus de tout nom.

 

Miserere  -    Lotti  (1665-1740)

 

Aie pitié de moi, Seigneur, selon ta grande miséricorde. Lave-moi encore de mon iniquité et purifie-moi de mon péché Car je connais mon iniquité et mon péché est toujours devant moi.

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O sacrum convivium   -   Schronen (*1965)

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O banquet sacré
où l’on reçoit le Christ !
On célèbre le mémorial de sa passion :
l’âme est remplie de grâce
et, de la gloire future, le gage nous est donné.
Alleluia ! 

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Images   -   Mamie   (1927-2020)

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Texte et musique de Jean Mamie. 
Quand le souvenir d’une personnes laisse des "Images". 
Marie-Claire Meuwly, Cosette Oddin et Coralie Vuichard vous racontent cette histoire.

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Si l’on gardait ...   -  Mermoud   (1912-2005)

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Les oeuvres signées par Robert Mermoud sont nombreuses, chorales
pour la plupart. Le musicien s’est donné pour mission d’enrichir le patrimoine choral et les chanteurs vaudois lui en sont reconnaissants. 
Voici un poème de Charles Vildrac (1882 - 1971), évoquant toute la splendeur sensuelle de la chevelure, mais aussi le rêve de liberté qu’ils proposent.

 

 

Candy

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Le Dêri J’adyu    -  Brodard
Paysan que ton Chant s’élève    -  Bovet 
Au-delà des Montagnes   -   Hobbit
Au Payi di Kolonbètè   -   Gachet
L’Instant du Bonheur   -   Bovet
Le Ranz des Vaches   -   Bovet

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La Cantilène
 
Nulle braise, nulle flamme   -  Bovet   (1879-1951)

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Ce poème met en lumière la force et la beauté de l’amour maternel. À travers des images poétiques, il nous rappelle qu’aucune flamme ne brûle plus fort que celle du cœur d’une mère, qu’aucune caresse n’est plus douce que son baiser, et qu’aucune étoile ne brille davantage que son regard. C’est un hommage simple, mais profond, à ces femmes qui, souvent dans l’ombre, portent en elles un amour inégalé, inépuisable.

 
Shenandoah   -   Erb   (11926-2014)

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La chanson évoque un voyageur qui chante son amour pour la vallée du fleuve Shenandoah. Elle exprime la nostalgie, le désir de retour, et l’attachement à un lieu ou un être aimé, tout en portant en elle le souffle du voyage, du temps qui passe.

 

Le Temps a laissé son Manteau    -  Geoffray  (1901-1972)

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"Le Temps a laissé son manteau ", poème de Charles d’Orléans, célèbre prince-poète du XVe siècle, célèbre l’arrivée du printemps avec une délicatesse pleine d’images. Dans cette mise en musique de Jean-Claude Geoffray, les mots anciens prennent un souffle nouveau : le froid s’efface, les oiseaux chantent, et la nature retrouve ses couleurs. Un petit bijou de poésie et de fraîcheur chorale. 

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Good Night Dear Heart   -   Forest   (*1978)

 

Dans cette œuvre bouleversante de Dan Forrest, les mots simples de Mark Twain prennent une profondeur presque sacrée. « Good Night, Dear Heart » est une élégie douce et émotive, chantée comme un murmure d’adieu. Forrest enveloppe le texte d’harmonies chaleureuses, douces et suspendues, qui traduisent la tristesse de perdre un enfant. Une page musicale délicate, méditative, et profondément humaine.

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Le Pays que j’aime    -  Mermoud   (1912-2005)

 

« Le Pays que j’aime » est une œuvre qui célèbre la beauté et l’âme d’un territoire cher au cœur de son auteur. À travers des mots simples et puissants, Mermoud nous fait voyager au sein d’un paysage qui incarne des souvenirs, des racines et un profond attachement à son pays. Ce chant nous rappelle l’importance de nos origines, de nos paysages familiers, et de tout ce qui forge notre identité. Il évoque la fierté et la tendresse que l’on porte à sa terre natale.

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Candy & La Cantilène

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Soir d’Octobre   -   Ducret   (1945-2025)

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« Soir d’Octobre » d’André Ducret est une peinture sonore impressionniste. Le texte, d’Emile Gardaz, évocateur et sensible, nous plonge dans une soirée d’automne douce et mélancolique, où la nature s’endort lentement dans la lumière pâle de la fin du jour. La musique épouse le rythme calme de cette saison, avec des harmonies riches et des nuances subtiles. C’est une méditation poétique sur le temps qui passe, la beauté éphémère, et le silence apaisé des choses qui s’achèvent.

 

 

 

Merci beaucoup pour votre présence à ce concert. 

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La Cantilène vous donne rendez-vous pour fêter son cinquantième anniversaire en compagnie de La Rose des Vents, les 7 et 8 février 2026.

Pour cette occasion les deux choeurs réunis vous proposeront deux concerts avec orchestre et solistes. Mendelssohn sera à l’honneur. 

Toutes les infos ici.

 

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